Start-up, scale-up, PME, entreprise « établie » … au sortie de l’école, les étudiants se retrouvent bien souvent devant un choix multiple et diversifié d’entreprises auprès desquelles ils pourront proposer le meilleur d’eux-mêmes. Motivation, implication, culture d’entreprise, projet d’avenir, montée en compétence, engagement sont les maitres-mots de cette population qui afflue parfois très jeune vers le monde professionnel. Si le choix se fait parfois ou souvent par défaut, il existe pour autant des critères qui privilégient les start-up et les scale-up comme première orientation professionnelle. Et bien souvent l’attrait de la nouveauté, la capacité à rapidement se sentir intégré, l’évolution dans un secteur en plein essor sont les éléments sur lesquels les étudiants se basent pour faire leur choix sinon de carrière, au moins d’environnement métier.
Mais qu’est-ce qu’une scale-up ? Ce n’est plus vraiment une start-up et pas encore une société dite « établie ». Plus mature que la start-up, elle est toujours en pleine croissance. On pourrait donner une définition de la scale-up qui la classerait comme une société innovante de plus de 10 salariés, avec un taux de croissance d’au moins 20% sur les 3 dernières années. Le terme « scale-up » correspond alors plus à une phase dans la vie d’une entreprise, lorsqu’elle passe un cap significatif. « Il s’agit d’une phase d’hyper-croissance. C’est le moment où la start-up – ou dans certains cas la PME – a trouvé un modèle d’affaires qui fonctionne et doit monter en gamme afin d’être capable de produire à plus large échelle son service ou son produit ». Et c’est typiquement ce que les étudiants recherchent.
Selon un article récent paru dans Les Echos qui met en avant une étude EY sur l’emploi des start-up, les embauches y sont bien plus fréquentes qu’au sein d’une entreprise « en place ». Ce qui vient en contradiction de la pensée collective qui voudrait faire croire que les start-up et les scale-up ne fonctionnent qu’à coup de CDD et de stages.
Les raisons pour lesquelles les étudiants s’orientent davantage vers ce type d’entreprises dépassent ce qui pourrait passer pour une légende urbaine. Ils savent qu’il existera pour eux plusieurs vies professionnelles et que chaque expérience apportera sa pierre à l’édifice. Comme en marketing on parlait d’outbound et aujourd’hui d’inbound, on définit sa vie professionnelle désormais en fonction de ses propres attentes, besoins, envies, affinités, ce que l’on ne retrouve pas dans la culture des entreprises en place. L’élément déclencheur reste la capacité d’innovation comme critère de sélection des étudiants pour leur orientation professionnelle, ce que possèdent les start-up et les scale-up.
Dans ce contexte métier, Javista a fait son entrée cette année dans le classement Great Place To Work. Javista a en effet toujours souhaité garder le collaborateur au cœur de ses préoccupations et met en œuvre des actions qui favorisent au quotidien son bien-être personnel et son épanouissement professionnel.
L’institut Great Place to Work se base sur un certain nombre de critères au cours d’une enquête interne auprès des collaborateurs et d’évaluations des pratiques managériales et RH. Ces critères reprennent notamment des valeurs qui existent chez Javista et qui y sont même si présentes qu’elles représentent le lien qui rassemble les collaborateurs :
- Esprit d’équipe
- Formation interne et montée en compétences des collaborateurs
- Conciliation vie privée / vie professionnelle
Etre classé en tant que Great Place to Work c’est une reconnaissance. C’est être reconnue comme étant une entreprise où il fait bon travailler grâce à des pratiques managériales et RH en faveur de l’épanouissement des collaborateurs. C’est aussi ce qui nous permet de montrer aux futurs potentiels et talents de Javista qu’ils ont une place qui les attend dans nos équipes pour peu qu’ils partagent les mêmes valeurs que l’entreprise : aider les autres collaborateurs, se rendre disponible pour ses collègues, partager son savoir.
Si les étudiants choisissent des start-up ou des scale-up comme orientation professionnelle c’est aussi parce que des entreprises comme Javista possèdent déjà les qualités qu’elles demandent de partager avec leurs nouveaux collaborateurs : dynamisme, curiosité professionnelle, sens de l’équipe, capacité d’innovation et sens de l’initiative.